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Afin d'accorder un avantage fiscal à ceux qui investissent dans l'immobilier commercial neuf, le dispositif Pinel a été mis en place dans la loi de finances 2014. Voilà une belle occasion de profiter d'une réduction d'impôt alléchante qui constitue une dévaluation déflationniste. La loi fait qu'il est difficile de n'en choisir qu'une seule, alors comment faire ?
Investir dans l'immobilier en Pinel nécessite de bien réfléchir à la localisation
Trois zones géographiques regroupent les villes éligibles à la loi Pinel. Il faut continuer la lecture pour en savoir plus sur la loi Pinel. En effet, par rapport à la zone géographique, il s'agit dans un premier temps de la zone A bis, qui comprend Paris et sa proche banlieue. Le deuxième niveau, la "zone A", comprend les banlieues périphériques de Paris qui ne sont pas dans la "zone A bis".
Les villes hors de la capitale où l'immobilier est cher, comme Lyon, Marseille et Montpellier sont aussi incluses en zone A. Enfin, la zone B1 comprend les villes de plus de 250 000 habitants qui ne font pas partie des zones A et A bis. Il s'agit des villes comme Toulouse, Bordeaux et Strasbourg.
Le type du bien
Le choix du type de logement doit être guidé par les caractéristiques démographiques des locataires qu'on envisage. Il n'y a pas de meilleur choix de logement pour les étudiants qu'un appartement T1 ou T2. Si on envisage d'acheter un bien immobilier dans une ville étudiante où la demande locative est élevée, il est conseillé d'investir dans un logement de cette taille.
Si on cherche à louer à une famille, il faut privilégier les biens comportant au moins trois chambres.
Étudier le marché local dans la zone où on envisage d'investir
Les investisseurs en immobilier Pinel doivent se concentrer sur les quartiers où la demande locative est supérieure à l'offre. C'est le moyen le plus sûr d'attirer des locataires et d'augmenter ses revenus locatifs. Les meilleurs endroits pour acheter un logement et profiter du dispositif Pinel sont les grandes villes universitaires.